Le retour de l’inspecteur Beric comme dirait Timothée Maymon !

Et s’il y a bien quelqu’un que l’on doit remercier, c’est Robert Beric. Lui qui joue si peu mais qui est si diablement décisif. Mercredi soir, il lui a fallu à peine plus de 3 minutes pour ouvrir le score d’une tête croisée, imparable pour Sels. La combinaison entre Silva et Kolodziejczak fonctionne à merveille, et ce dernier dépose le ballon sur la tête du slovène toujours au bon endroit au bon moment (1-0, 4ème). Le festival Beric n’est pas terminé puisqu’il est passeur décisif sur le second but stéphanois : sur un bon coup-franc de Khazri, Sels réalise l’exploit dans un premier temps mais à la suite d’un cafouillage Beric trouve cap’tain Perrin au second poteau dont la tête croisée trompe une nouvelle fois le portier strasbourgeois (2-0, 27ème). Beric aurait même pu y aller de son doublé sans une reprise maladroite à la suite d’un nouveau coup-franc de Khazri repoussé par Sels.

Et s’il y a bien quelqu’un que l’on doit remercier, c’est Robert Beric. Lui qui joue si peu mais qui est si diablement décisif. Mercredi soir, il lui a fallu à peine plus de 3 minutes pour ouvrir le score d’une tête croisée, imparable pour Sels. La combinaison entre Silva et Kolodziejczak fonctionne à merveille, et ce dernier dépose le ballon sur la tête du slovène toujours au bon endroit au bon moment (1-0, 4ème). Le festival Beric n’est pas terminé puisqu’il est passeur décisif sur le second but stéphanois : sur un bon coup-franc de Khazri, Sels réalise l’exploit dans un premier temps mais à la suite d’un cafouillage Beric trouve cap’tain Perrin au second poteau dont la tête croisée trompe une nouvelle fois le portier strasbourgeois (2-0, 27ème). Beric aurait même pu y aller de son doublé sans une reprise maladroite à la suite d’un nouveau coup-franc de Khazri repoussé par Sels.

En seconde période, les strasbourgeois qui n’avaient rien montré au cours du premier acte se rebiffent et parviennent à réduire le score à la suite d’un cafouillage dans la défense stéphanoise cette fois-ci, où Da Costa est le plus prompt pour envoyer le ballon sous la barre de Ruffier impuissant (2-1, 73ème).

83ème minute : c’est le moment choisi par l’arbitrage pour nous livrer sa parodie habituelle : Beric (encore lui) s’effondre dans la surface, M. Brisard désigne le point de penalty avant d’aller s’épauler de la VAR pour confirmer sa décision et l’on pense à ce moment-là que c’est dans le but d’exclure le strasbourgeois Da Costa déjà averti en première période… Il n’en est rien, l’arbitre se ridiculise en annulant un penalty pourtant flagrant à la vue des images. Cette fois-ci heureusement, aucune conséquence comptable ne sera subie par les Verts qui s’imposent finalement 2-1 et reprennent leur 4ème place, à seulement 3 longueurs du podium avant le choc contre la capitale ce dimanche.

On a aimé :

Beric : le « Zorro Vert » est de retour, pour le plus grand bonheur des supporters stéphanois qui viennent de perdre une de leur coqueluche en la personne de Selnaes mais qui en retrouvent une avec Beric. Le slovène fait effectivement partie des chouchous du stade Geoffroy-Guichard du fait des valeurs qu’il représente et surtout parce qu’il a toujours répondu présent quand on avait besoin de lui. Dommage qu’il n’y ait pas une plus grande confiance en lui du côté de Sainté, qui aurait décidé de ne pas le prolonger alors que les statistiques parlent pour lui : en effet, depuis qu’il a débarqué dans le Forez le slovène a inscrit pas moins de 27 buts en 74 matchs disputés soit plus d’un but tous les trois matchs en comptant ceux parmi lesquels il n’a joué qu’une poignée de minutes et sans mentionner qu’il a dû se remettre d’une grave blessure à la suite d’un derby en « banlieue » (merci Ferri!). S’il venait réellement à quitter le navire en fin de saison, un gros sentiment d’inachevé et d’incompréhension s’emparerait du Peuple Vert.

L’entrain proposé par les Verts en première période : voilà ce qu’on attendait, un pressing haut et un siège sur le but strasbourgeois qui a permis à Sainté de mener 2-0 rapidement dans le match. La deuxième mi-temps aura été de moins bonne facture, mais avec de telles premières mi-temps, il est possible d’être un peu moins bien un moment dans le match.

On n’a pas aimé :

La VAR/l’arbitrage : heureusement qu’aucun préjudice comptable n’est à déplorer cette fois-ci, mais tous les spécialistes de football sont unanimes : comment M. Brisard en allant voir la VAR peut-il annuler le penalty stéphanois ? Incompréhensible, au point que certains commencent à se demander si ce n’est pas Saint-Etienne qui dérange… Affaire à suivre puisque finalement la VAR c’est comme un petit feuilleton à Sainté !

Nos tops/flops :

Tops :

Beric : Bien évidemment, il aurait été du ressort de M. Brisard de ne pas le mettre dans nos tops ! Mais nous on voit correctement, buteur dès la quatrième minute de jeu, puis passeur décisif, il provoque ensuite le penalty que l’arbitre annule injustement. Dans tous les bons coups donc.

Monnet-Paquet : toujours aussi impressionnant quelque soit le poste, plus les matchs passent plus il semble réel qu’il ne faut jamais qu’on oublie qu’on va gagner grâce à Monnet-Paquet !

Kolodziejczak : fautif lors du derby, et pas au top lors des matchs suivants, mercredi soir nous avons retrouvé le vrai « Kolo », celui qui est intraitable défensivement et qui apporte offensivement.

Perrin : Depuis un an et demi, il se murmure du côté de Sainté (et oui parce qu’il est difficile de dire du mal de capt’tain) que Perrin est peut-être dans ses saisons de trop… Loïc nous a montré hier soir qu’il a encore de beaux jours devant lui en inscrivant notamment son 32ème but sous le maillot vert.

Flops :

Difficile de trouver des flops quand l’équipe tourne bien, mais il semblerait que Cabella n’ait toujours pas retrouvé l’influence positive qu’il avait sur le jeu la saison dernière, et Aït Bennasser a perdu beaucoup de ballons chauds au milieu de terrain, à ne surtout pas reproduire face au PSG !